Nota sobre a Apophasis em Dionísio o Areopagita

Autores/as

  • Pedro Calixto Ferreira Filho
  • Eduardo Alvim Passarella Freire

DOI:

https://doi.org/10.20873/rpv7n1-35

Resumen

Le présent article se donne comme tâche démontrer que la reprise dionysienne de l’hénologie néoplatonicienne ne se fait pas sans quelques déplacements dus à l’influence de la théologie chrétienne sur le néoplatonisme. Le plus important d’entre eux étant la revalorisation du discours positif sur la divinité, rendue possible grâce à la négation par transcendance qui permet d’affirmer de Dieu qu’il est, tout en tenant compte du fait que l’Etre divin, à cause de sa transcendance, est au-delà de nos connaissances. Le premier enjeu de la problématique de la négation en régime néoplatonicien a moins été de dépasser la définition aristotélicienne de la négation que de rompre avec le primat supposé de l’affirmation, en démontrant qu'il n'est pas ontologiquement fondé, lorsque l'on a affaire à la pensée de l'Un. Mais aussi et surtout, on retrouve dans la théologie dionysienne, une réhabilitation de la positivité des attributs divins révélés dans l’Ecriture, ouvre la pensée du néant suressentiel à la non-opposition. L’entrée ici du concept de révélation est d’une importance capitale, car, désormais en régime chrétien, s’il faut préserver le secret, l’obscurité et faut aussi la concilier avec la révélation, bref, il faut maintenir transcendance, il ne faut pas négliger l’immanence. Ce geste de l'Aréopagite s'avère être d'une grande fertilité au Moyen Age.

Publicado

2022-07-15

Cómo citar

Calixto Ferreira Filho , P., & Alvim Passarella Freire , E. (2022). Nota sobre a Apophasis em Dionísio o Areopagita. Perspectivas, 7(1), 187–206. https://doi.org/10.20873/rpv7n1-35

Número

Sección

Dossiê Filosofia Medieval